Le récit + la vidéo et quelques photos de notre sortie hivernale à vélo sur le mont aigoual avec Jean mi en janvier 2018

une nouvelle ascension du mont aigoual en vélo. Jean-mi et Theo : janvier 2018 (80 km et 1200 d+)

 merci a nos fidéles supporters

Amis cyclos et cyclottes bonjour.

Au début de  l'hivers j'ai décidé de refaire une nouvelle ascension du mont aigoual comme en 2015 .Les conditions recquise pour tenter cette nouvelle aventure sont .un ciel clair pour une bonne visibilité de l'environnement car du haut de l'observatoire on y vois un tiers de la france.Qu'il y ai trés peu  de vent car la haut c'est vite l'enfer. Qu'il y ai une bonne couche de neige pour le fun.et que la fin du parcours soit disont le carrossable .Pour que ses conditions soit réunies et qu'en plus cela tombe un week end il faut scruter la météo en permanence.

Vendredi 26/01/18 je me reveille a 4h45 ,plus sommeil c'est comme ca, ptit dèj et un oeil encore mal éveillé sur la météo du  mont aigoual et ses environs. Aprés plusieurs jours de grands vents et de forte pluie ,je vois qu'une fenêtre météo se presente pour le dimanche 28/01.Illiquo presto a six heure je contacte Olivier pour lui annoncer que la rando que nous devions faire ensemble le samedi est annulé pour moi. il me repond qu'il n'est pas dispo ce dimanche je contacte aussi Jean mi qui lui est chaud malgrés ses problèmes de pieds qui eux sont trés trés frileux. Il faut dire que Jean mi et Olivier sont toujours partant pour les beaux challenge.                     

Aller ça part de la...

A six heure du mat ( j'ai pas de frissons) je passe en voiture récuperer le sieur Jean michel , nous sommes daccord, pouquoi se lever si tôt un dimanche matin . nous n'avons rien a gagner .rien a prouver,  mais bon rien a perdre non plus  de cette journée prometteuse. Sur le trajet un petit arrêt boulangerie ,pains au chocolat, baguettes et l'affaire et dans le sac . Arrivé a Valleraugue nous débarquons les vélos, il fait comme on dit chez nous un peu frisquet. Nous nous abillons chaudement et c'est le départ, il est environ huit heure. le jour pointe son nez, le vent est nul et le GPS garmin donne un petit moins deux degrés. Nous démarrons tranquilement le temps de faire chauffer la mécanique qui restera froide tout le long de la montée ,nous la monterons donc tranquillement

Il faut dire qu'avec l'équipement d'hivers, plus les chaussures de montagne le pédalage n'est pas aisé. Le soleil blaffard pointe son muzeau a présent sur les hauteurs enneigées.De rose pale, il passe tout doucement en plein phare et vient  peu a peu  avant la station nous réchauffer la goutte au nez. Entre deux montagnes nous avons aperçu le mont ventoux coiffé de son bonnet blanc .   L'Esperou nous semble bien plus éloigné que d'habitude, prochain lacet ? l'autre ? aucune idées.  La neige commence a être trés presente sur le bas coté, ses cristaux scintillent avec le nouveau soleil d'hivers . Quelques stalactites de glace font leurs apparitions accrochés a leurs rocher comme milles dents acérées  prètent a dévorer les pieds gelés de Jean mi. Nous passons l 'Esperou les voitures qui nous on doublé sont en train pour un bon nombre de louer , luges , raquettes , skis ou je ne sais  quoi chez les dileurs du coin .Passé le village nous avons faim . et décidons de faire une pose au col de la serreyrède ,altitude 1299 mètre. La neige est abondante et le filet d'eau qui coule de la source est vivifiant. Aprés une bricole bien vite expédié nous rapartons. le copin Jean mi me dit qu'il souffre de crampes et que ses pieds sont congelés, ca me rassure il vas bien. Les derniers kilometres ce font sans grosses difficultés hormis le passage devant le parking de la station de PRAT PEYRO . C'est la cohue ,les voitures se bousculent , nous nous faufilons entre elles sur un revetement , mi goudron ,mi neige,mi glace, mi eau, (sans vouloir faire du PAGNOL) quatre mi en gros. La suite ce passe asser bien a part de longue partie vraiment bien verglacé, la couche est fine mais  asser plate façon patinoire. en montant sur le couple (c'est une image, avec le froid qu'il fait t'a envie de monter sur personne) la roue arriere décroche un peu mais ca grimpe tout de méme. Arrivé en haut il faut prendre a droite et là ! stupeur ! un mur de neige se dresse devant nous, derriere ce mur la neige de l'avant veille et bien épaisse. Comment faire rebrousser chemin ?  jamais de la vie ,nous navons pas fait quatre heure d'ascenssion pour nous écrouler a un kilomètre du buffet. Je franchis la butte le premier mes jambes s'emellent et je fait un premier soleil , ca démarre bien Jean mi passe tranquille. sur la neige non tassée il y a une monotrace (un des mots preferé de JM) .nous poussons les vélos ,la neige est épaisse mais trés molle en meme temps.Cest un vrais chemin de croix. les pieds  s'enfoncent ,se perdent ,réapparaissent a nouveau, au tour des roues a présent. JM tente de grimper sur sa monture, le démarrage est difficile mais il semble tenir bon, j'en fait de même c'est pas evident les arrêts sont fréquent et les chutes son hilarantes. La progression est lente mais l'objet tant convoité est a une portée de roues (de pieds a vrais dire) des que nous quittons la monotrace nos jambes s'enfocent j'usqu'aux genoux et la je dit vive les chaussures de montagne tant génantent dans la montée se montre trés éfficace,les pieds sont humide mais ça vas .par contre mon acolite a l'air un peu palot, mais son sourire et sa bonne humeur lui redonne vite du tonus pour frachir les dérnieres congères.

 Nous arrivons enfin au pieds de l'observatoire. je décide de gravir sa tour ronde et crénelée, JM reste au pied de la station météo avec les vélos. Je franchi les dernieres congères et grimpe sur l'escalier glissant. la vue est impressionante,ça part de gauche a droite. le beau mont lozère, les Alpes et son mont blanc ,le mont ventoux.la mer meditérrannée ensoleillée, le canigou ,les pyrénnées sont un peu dans la brume, ensuite au loint ,le maçif central . Je fait quelques photos puis redescent rejoindre hibernatus pour la grignote. bizzarement la faim que nous avions au niveau de la station de ski et au niveau de l'estomac a disparue , peut être est ce le froid . nous mangons et ce fesant JM vois un autre vélo prés de la tour. Nous sommes étonné de voir qu'il y a un autre féler en ce beau dimanche hivernal. nous n'y prétons plus attention et d'un coup le cycliste peut être aussi étonné que nous; viens a nôtre rencontre.il a un vtt suspendu et porte un sac a dos de taille moyenne .nous parlons de voyage à vélo et il nous parle de ses voyages en vtt et en autonomie uniquement par les chemins, la route des grande ALPES que nous avions parcourue en autonomie aussi mais par la route en 2014. Il nous dit aussi qu'il prépare toujours par les chemins une traversée des Pyrennée, Biarritz collioure, puis nous nous séparons car nous avons encore du chemin a parcourir.Nous repartons par le même itineraire que la monté, le  premier kilomètre est a mourir de rire, gamelles sur gamelles pour ma part JM a eu sa dose aussi. Une personne inconnue me demande s'il peut me prendre en photo, j'acquiesce, il tire son cliché , me félicite pour notre courage et rajoute < celle la je la montrerai a mon club cycliste > je souris, je repart ,je retombe. Enfin aprés avoir franchi une derniere bute de neige nous posons pied sur  le goudron, Alain nôtre nouvel amis nous retrouve et décide de faire la descente avec nous. Ils s'élancent ,triste de quitter la beauté de ce bel endroit durement gagné ,  je démarre a mon tour. avant la sation de ski il y a une partie de route verglacée sur 250 mètres environ. JM et Alain la traverse au mois a 30 a l'heure j'en fait de même et me rend vite compte que freiner serais une bien mauvaise idée ,mais bon ça passe. une fois la station dépasser la déscente vers Valleraugue débute vraiment. La route est vraiment détrempée , il y à quelques plaques de verglas çà et là donc prudence. nous dépassons l'Esperou et plongons vers la vallée ensoleiller. Plus nous déscendons plus la température grimpe .Avec nos vélos en acier et nous freins a disque XT nous négocions les virolos a la Rossi ( VALENTINO pas TINO) .Peu a peu la couche de neige s'amoidrit et les laçets se défont nous prenons nôtre pied . Nous sommes souvent au dessus de quarante a l'heure , donc prudence dans les virages. de temps à autres nous donnons un dernier coup d'oeil sur l'observatoire en guise  d'aurevoir. nous sommes heureux aussi de rejoindre la voiture car la journnée a été éprouvante.  En faisant la somme totale des efforts fournis depuis le départ a six heure du matin et de la journée dans le froid avec 54 KM et 1200 de D+ l'usure çe fait ressentir . nôtre amis Alain fait une alte pour nous saluer ,lui n'est pas encore arrivé il habite au Vigan.nous lui donnons l'adresse du blog ensuite nous faisons une derniere photo. changement d'habits et hop direction la datcha. La fatigue çe fait ressentir mais la joie reprend vite le dessus. voila le récit est complet je crois .Merci Jean mi pour ta bonne humeur et ton sens du défit. Merci Alain de nous avoir accompgné et fait rêvé avec tes reçits de voyags à bientôt peut être. alors ? le prochain défit ?

 merci a nos fidéles supporters

Comments

[Sandrine lieutau]

Des fous courageux! Continuez!

Théo dans ton récit on a l'impression d'être avec vous, j'imagine bien les parties de rigolades avec vos gamelles! Bonne continuation!

S Lieutaud